Vampire X Bandit : Le retour [PV Bella ^^]- Partie 1

Rose vit Falhen allais jusqu'à elle et poser son bars autour de ses épaules l'écoutant..
Puis elle sursauta a la remarque de la rousse..un homme..mais pourquoi penser cela les femme ne sont pas faible!!
Rose entendit les bandits parlaient du faite qu'il fille comme elle aurais du mourir face au deux bandits corbeau puis elle sentie le regard de Falhen sur elle ce qui la fit rougir comprenant pourquoi il la regardait..

Rose: je..
Elle baissa la tête cachant son visage..
Rose: c'est vrai une simple princesse, parce que oui je suis la fille du roi..une simple jeune femme comme moi aurais du mourir mais il se trouve que je suis un peu plus que cela..
Elle releva sa tête dévoilant ses yeux rouge sang et sa peau blanche..

Rose: je ne suis pas tout a fait humaine..alore essayer de deviner qui je suis..

Elle sourie d'un sourire amusée et sadique cachant ses canines qui n'étaient pas encore pousser..
Rose: si vous voulez je peux donner un indice..
Elle regarda Falhen affamé mais rie pour lui faire comprendre qu'elle n'allais pas lui sauter dessus..

Décidément Rose changer de caractère comme de robe..

En bas Calior sourie en voyant les trois clef qui avait etait rejeter par d'autre..
Il déposa délicatement sa main sur celle de l'aubergiste pour prendre une des clef..
Calior: cela sera parfait ne vous inquiétez pas..
il déposa de son autre main une bourse avec un peu d'argent assez pour payer son verre et sa chambre..

Calior: est-ce que cela suffira?

Rose écouta avec attention, sursautant quand la rousse fit parla d'homme. Falhen ne put s'empêcher qu'elle n'irait pas loin si elle était encore de celles qui croyaient que la force était faite autant pour les femmes que pour les hommes. Autant ce n'était pas vraiment faux, autant beaucoup de gens pensaient le contraire sans avoir tout à fait tort eux non plus. Tout dépendait de la personne. Puis la princesse rougit quand Falhen la regarda, baissant la tête.
"Je... C'est vrai, une simple princesse - parce que, oui, je suis la fille du roi - une simple jeune femme comme moi aurait du mourir mais il se trouve que je suis un peu plus que cela."
Déjà que les bandits paraissaient surpris qu'elle soit la fille du roi, ils le furent bien plus quand elle releva la tête : elle avait un visage blanc comme neige et les yeux rouges. Tous, exceptés Émy, Falhen et l'homme assis sur le hamac sous celui d'Ulie, avaient poussé un cri de surprise en entendant parlé du Roi, mais là, ils étaient tous très surpris. Ulie s'était retenue sur son hamac pour ne pas tomber, terrifiée par le regard de Rose. À côté, Alye avait eu du mal à déglutir, reculant légèrement la tête. La rousse avait manqué de bondir en arrière, et elle qui était en taille avait reculé un peu, se retenant de se coucher en se soutenant de ses mains en arrière. L'un des deux belliqueux s'était mis en position de défense alors que l'autre avait lui carrément trébuché et titubait à présent dangereusement. Au fond, l'homme dans l'ombre avait décroisé les bras, se crispant un peu. Émy avait lui plissé les yeux alors que Falhen avait détourné la tête. Le dernier homme, mystérieux, la regardait de la même manière que quand elle était normale.
"Je ne suis pas tout à fait humaine, avait avoué Rose, alors essayez de deviner qui je suis. Si vous voulez, je peux donner un indice..."
Elle avait ajouté cette dernière phrase avec un sourire amusé, se tournant vers Falhen avec un regard étrange que tout le monde accueillit avec curiosité. Seul Falhen qui y avait déjà fait face réagit, retenant un cri de surprise en reculant. Il ne se calma un peu que quand Rose lâcha un rire pour lui faire comprendre qu'elle n'allait rien faire.
"C'est pas drôle Rose !", se plaignit-il d'un air gêné.
La réaction de Falhen avait inquiété un peu tous les bandits. Mais personne ne pouvait vraiment donner un nom sur ce qu'était précisément Rose. Il faut dire qu'en ce temps là, les seuls renseignés étaient les nobles ou les bandits qui avaient fait des recherche, Laèl et Saër en faisaient partie en l'occurrence. Les autres appelaient toutes créatures différentes de l'homme des démons ou des monstres. Mais en voyant la manière dont Rose s'était introduite, personne n'osait parler de tels noms. Ils ne pouvaient rien proposer, seul un noble aurait pu les sauver.
"Vampire n'est-ce pas ?"
Tout le monde se tourna vers celui qui venait de parler. C'était l'homme assis sur le hamac. Il avait détourné les yeux pour regarder quelques documents qu'il tenait en main. Il releva la tête quand le silence lui parut trop long. Il avait les yeux bruns ambrés et les cheveux d'un noir simple, un peu plus longs que la moyenne et attachés en queue de cheval. Ses vêtements étaient amples et plutôt riches mais il n'avait pas non plus vraiment l'allure d'un noble.
"Falhen, je ne te pensais pas capable de telle folie.
-Je n'étais pas plus au courant que vous avant que... Enfin ça vous regarde pas, j'ai pas été au courant de suite quoi !"
Il n'avait pas vraiment envie de parler du fait que Rose l'avait croqué, il aurait eu l'air malin le grand bandit inattaquable qui était célèbre depuis son plus jeune age...

Layla finit par trouver deux bouteilles de jus de fruit que lui avaient passé un villageois en échange d'alcool pour l'anniversaire de sa femme. Elle les prit d'un air triomphant, s'apprêtant à les proposer au client quand celui-ci posa sa main sur celle de la jeune femme, celle qui tenait les clés, en souriant. Elle retira immédiatement sa main, affichant très brièvement un air dégouter, trop rapidement pour que Calior ai put le voir trop facilement.
"Cela sera parfait, ne vous inquiétez pas..."
Il déposa alors une bourse sur la bar. Le bruit des pièces d'or sonnèrent à l'oreille de Layla, lui faisant détourner son attention de la main que le jeune homme avait sur les trois clés. Elle regarda un moment la bourse, l'ouvrant pour regarder rapidement à l'intérieur alors qu'il demandait si cela suffisait. Elle compta le plus vite possible, peu rassurée par cet homme : il y avait exactement la somme qu'il fallait. Quel étrange hasard...
"Oui, c'est pile ce qu'il faut. Prenez la chambre que vous voulez. Euh..."
Elle prit la main du jeune homme pour la relever, prenant les clés - avant de le relâcher aussitôt - pour lui indiquer les numéros de chacune et leur emplacement précis au cas où il ne saurait pas compter ou reconnaitre les chiffres gravés sur la clé et la porte. Ceci fait elle reposa les clés sur le bar et lui servit un jus de fruit au hasard avant de tout ranger, allant dans la cuisine pour échapper à cette étrange sensation qu'elle avait avec ce jeune homme. Il était trop étrange à son goût...

Rose: quand je suis venu au début ils me pensaient juste princesse..c'est moi qui est décidé de les aider et d'abandonner ma vie de petite fille gater pour utiliser mon dons a quelques chose d'intéressant..et oui je suis une vampire!
Elle montra enfin ses cros les yeux pétillant de soif de sang..

Rose: et je vais demander a votre chef de devenir bandit officiel..j'espère qu'on pourra s'entendre tous..
Elle regarda Falhen comme demander si c'etait bien ce qu'elle disait pas très sur d'elle quand même..
Puis elle se demanda si Lael allais bien ne sachant pas trop ce qu'il etait partie faire en réalité..

Calior prit sa clef et bue son verre assez rapidement avant de partir sans rien dire allant dans la chambre juste a côté de la 13..
Il passa en face puis entendit parler..surpris il rentra dans sa chambre et se mit a côté du mur pour écouter discrètement ce qui pouvais se passer a l'interieur..

Les bandits observaient celui qui avait parlé avec surprise. Tous savaient très bien qu'il n'était pas un noble, mais ses connaissances étaient au dessus des leur sur certaines choses. Il les étonnait toujours au final. Rose intervint dans la discution du Falhen et le bandit, expliquant précisément ce qu'il s'était passé, et qui elle était :
"Quand je suis venue au début, il me pensaient juste princesse. C'est moi qui ai décidé de les aider et d'abandonner ma vie de petite fille gâtée pour utiliser mon don à quelque chose d'intéressant... et oui, je suis une vampire !"
Elle afficha un sourire, découvrant ses crocs typique de sa race et son regard pétillant d'une certaine malice, d'une lueur malveillante qui ne donnait pas vraiment envie de l'approcher. Mais le bandit aux habits riches resta de marbre, comme depuis l'arrivée de Rose d'ailleurs. Il cligna lentement des yeux totalement indifférent à cette apparence quelque peu étrange qui avait fait la terreur de bien des gens auparavant.
"Et je vais demander à votre chef à devenir bandit officielle, ajouta-t-elle. J'espère qu'on pourra s'entendre tous..."
Un gros silence suivit cette phrase. Les bandits ne semblaient pas vraiment convaincus, il faut dire qu'ils n'étaient déjà par rassuré de ce qu'était Rose, mais ils commençaient à être habitués avec Faldhur et Falhen aux créatures étranges. Non, il y avait cette phrase définitive qui gênait. Le bandit au regard ambré lâcha un chuintement, comme retenant un rire, retournant à l'examination des documents qu'il avait. Falhen le regarda d'un air perplexe.
"Un problème Adrian ?
-Falhen, pourquoi lui mentir ?, répondit ledit Adrian avant de se tourner vers Rose. Princesse, si je puis me permettre, vous n'êtes pas bien renseignés sur la vie hors du château, n'est-ce pas ? Nous ne sommes pas des amis, on se fiche bien de bien s'entendre, nous ne sommes qu'un regroupement de personnes partageant le même idéal, ici le rejet de la noblesse et donc de votre père."
Adrian replia les vieilles feuilles qu'il examinait pour les ranger dans sa poche, regardant Falhen d'un air de défi. Celui-ci avait les yeux fermés, comme si il écoutait attentivement. En entendant le bandit se lever du hamac, il rouvrit les yeux : son regard doré s'était durci et empli de sévérité. Il mit les mains sur les hanches tout en relevant la tête d'un air supérieur, agacé par le comportement de son camarade.
"Dois-je te rappeler qui avait des idées d'alliance entre les Bandits Corbeaux et nous ?
-C'est cette erreur qui fait que je suis sceptique quant à l'amitié cher les bandits.
-Tant que ça."
Adrian releva un sourcil en voyant un large sourire apparaitre sur le visage de Falhen.
"Tu ne connais rien de moi, nota-t-il en se mettant face à l'homme aux yeux dorés.
-Tu n'en sais pas plus sur moi.
-Je sais que tu es le fils du Roi.
-Et je sais que tu es le fils d'un paysan de ce village mais que tu as quitté ta famille pour t'enrichir.
-Cela fait deux choses."
Falhen sourit, un sourire triomphant. Mais Adrian ne semblait pas plus convaincu.
"Mais ce n'est pas ceci qui fait de nous des amis. Je sais que Saër est le frère de Laèl, qu'il a perdu la mémoire très jeunes et pourtant, jamais on a put faire une rencontre amicale.
-Tu es déçu ?, se moqua Falhen. Ce n'est pas moi qui ai avancé la preuve de connaitre l'autre pour être son ami, ne mélange pas les serviettes et les torchons."
Adrian plissa les yeux, agacé.
"Avance donc ta définition."
Falhen répondit d'un sourire, mais avant qu'Adrian ne parte, il reprit la parole :
"Je me rappelle encore de ce jeune homme qui traversait la ville de long en large en cherchant quelqu'un pour l'aider à trouver un travail pour aider son père. Ce jeune homme très intellectuel qui était incapable de porter un sac de farine sans l'aide de quelqu'un d'autre. Ce jeune homme qui a fini par tout abandonner pour devenir riche en volant les passants et en se moquant des gardes, tu t'en rappelles ?
-J'aimerais bien connaitre le rapport.
-C'était ce même jeune homme qui avait à peu près mon âge et avec lequel je faisais les quatre-cent coups."
Adrian se crispa.
"Comme avec tous les bandits Falhen.
-Serais-tu jaloux ?
-Tu aimerais bien. Je suis désolé de te décevoir mais je ne veux pas avoir à faire avec une démone, qui plus est une fille du Roi."
Il se dirigea vers la sortie mais Falhen plaqua sa main contre le mur, lui barrant le chemin avec un air sévère.
"Je suis un homme victime d'une malédiction, un magicien noir traité du démon, je suis le fils déchu du roi qui s'est enfui à force d'être traité d'indigne. As-tu dit lorsque tu m'as rencontré que tu ne voulais pas avoir à faire avec moi ?"
Adrian se figea, fixant un moment Falhen d'un air surpris. Après un moment, il fronça les sourcils, relevant de force le bras de Falhen.
"J'ai très bien vu que c'était une erreur de rester "ami" avec toi. Je ne la referais pas."
Sur ce, il partit, laissant Falhen devant la porte ouverte. Celui-ci jura avant de la refermer rageusement, s'apprêtant à aller se rassoir sur le bureau mais quand il fit demi-tour il se heurta dans quelque chose de mou et des bras l'encerclèrent, le surprenant au point qu'il lâcha un cri de surprise.
"Mais moi je suis ton amie Falhen !, fit la femme rousse avec un sourire moqueur.
-Éli', lâche-moi !"
La situation était si humoristique que l'air se détendit aussitôt alors que Falhen tentait de fuir les bras de ladite Éli' qui ne semblait pas vraiment vouloir le lâcher.

Rose observa la scène elle aurait voulu sourire mais ce qu'avait dit le jeune homme avant l'avais profondément blesser..
une demone..elle ne l'avais pas choisie d'être ainsi, elle aurait préféré être une fille tout a faite normal avec des parents qui l'aiment et qui passe du temps avec elle ce qui n'était pas son cas..
Le roi ne passait jamais le temps d'être avec elle et sa mère elle ne l'avais même pas connu grandie en compagnie de servante voila sa vrai vie..l'ennuie total qu'elle avait pu avoir et cette enlèvement qui avait gâcher sa vie..

Elle se tourna vers la porte et sortie sans dire un mot la claquant même..
Elle se dirigea d'un pat sur vers le fameux Adrian qui partait vers la sortie,mais avant qu'il ouvre la porte elle l'appela, elle se trouvant sur la dernière marche des escaliers..

Rose: je peux savoir ce que tu as contre les vampire?! tu croit vraiment que c'est un choix d'être comme je suis? et puis tu va devoir me supporter longtemps puisque je vais tout faire pour devenir bandit a mon tour que tu le souhaite ou non Adrian!
Elle le fixa tout en descendant la dernière marche étant de nouveau tout a fait humaine et très sur d'elle..

Oui elle voulais rester et oui elle ne comptait pas quitter son grand amour Lael!

Rose sortit brusquement, mais personne n'y prêta vraiment attention, à part Falhen qui cessa un moment de râler après ladite Éli' pour la regarder partir, l'air inquiet. Il n'eut que quelques secondes de répit, mais assez pour qu'il puisse tout de même se soucier des deux jeunes gens.
*Rose, ne t'aventure pas trop loin sur le terrain d'Adrian...*

Adrian soupira en traversant le rez-de-chaussée, saluant Layla qui finissait de nettoyer les tables. Il avait besoin de prendre l'air et pensait que rien ne valait une bonne partie de chasse avec un voyageur riche, ou un bandit d'un autre Clan peut-être si il trouvait quelqu'un à sa hauteur sur le territoire de son Clan. Mais avant qu'il n'ai put atteindre la porte, il entendit quelqu'un l'interpeler par derrière. Il soupira en abaissant la main qu'il allait poser sur la poignée de la porte : cette voix, il ne la connaissait que trop bien en peu de temps.
"Que veux-tu ?", fit-il en se retournant d'un air agacé.
Il commençait à perdre patience et son visage arborait des traits plus durs que quand Rose était rentrée, moment où il se comportait de manière tout à fait indifférente. Rose, elle semblait hors d'elle. Il faut dire qu'Adrian n'y était pas allé de main morte lorsqu'il avait rejeté son souhait de s'entendre avec un peu tout le monde, mais il se refusait à croire que c'était possible que cela arrive.
"Je peux savoir ce que tu as contre les vampires ?!, explosa la princesse.
-Tout, répondit-il du tac-au-tac.
-Tu crois vraiment que c'est un choix d'être comme je suis ? Et puis tu vas devoir me supporter longtemps puisque je v ais tout faire pour devenir bandit à mon tour que tu le souhaites ou non Adrian !"
Adrian croisa les bras d'un air pressé. En voyant que Rose avait terminé d'exposer ses pensées et les quatre vérités, il prit à son tour la parole, l'air tout à fait calme, comme si il parlait de la pluie et du beau temps à quelqu'un qu'il avait croisé dans la rue.
"Laisse-moi deviner, c'est le mot de démon qui te gêne ? Démon désigne toutes sortes de créatures de la nuit chez les paysans. Qu'il en soit ainsi, reste donc bandit, mais cela ne te dispense pas de me laisser tranquille : je ne veux pas avoir à faire avec un monstre."
Il avait lâché cette dernière phrase en détachant bien ses syllabes avant de se retourner dans un soupire, ouvrant la porte avant de sortir, sans prendre la peine de refermer derrière lui, ce qui arracha une plainte inquiète chez Layla.
"Mais qu'est-ce qu'il a dernièrement ? Il a de la chance qu'on approche de la saison chaude...", souffla-t-elle en se dirigeant vers la porte pour la fermer.

Rose etait complètement clouer sur place a l'entendre lui parlais ainsi..démon sa avait etait dure a digérer mais la la traiter de monstre c'etait trop pour elle..
Elle avait les yeux brillant près a pleurer..
Puis voyant que la seul personne présente dans la pièce fut Layla..
Elle se dirigea donc jusqu'à elle et alla lui sauter dans les bras pleurante a chaude larme..

Rose: je suis pas un monstre c'est pas vrai!! les monstre n'ont pas de sentiments ils sont méchant et tue par plaisir je suis pas comme ça!!
Elle continua de pleurer, elle avais besoin que quelqu'un la réconforte..
Elle commença a se demander si elle avait bien fait de dire a tout le monde qui elle etait,est-ce que tout le monde penser sa d'elle a present? est-ce que les autres bandits vont la prendre pour "un monstre"?

Layla ferma la porte mais quand elle se retourna elle manqua de tomber, titubant brièvement avant de se rendre compte de ce qui l'avait ainsi fait basculer : c'était Rose, pleurant tout ce qu'elle pouvait, qui lui avait sauté dans les bras après le choc que devait avoir provoqué Adrian en la traitant ainsi de démon puis de monstre.
"Je suis pas un monstre, c'est pas vrai ! Les monstres n'ont pas de sentiments, ils sont méchants et tuent pas plaisir, je suis pas comme ça !", fit-elle entre deux sanglots.
Elle pleurait à chaudes larmes et cela fit mal au cœur à Layla qui lui caressa les cheveux d'un geste de réconfort, assez inquiète pour la jeune fille qui débutait dans l'obscure monde des bandits. Elle ne connaissait pas tout le monde, c'était évident qu'elle allait réagir comme ça sans connaitre Adrian... et même en le connaissant à dire vrai. Layla soupira, ne sachant que dire pour la réconforter : autant elle pouvait démentir le fait qu'elle était un monstre autant elle était incapable de justifier les acte d'Adrian.
"Rose, calme-toi, ne t'en fait pas pour si peu... Tu devrais aller parler avec Falhen, je suis sur qu'il sera capable de te rassurer...", proposa-t-elle, un peu gênée de ne pas pouvoir l'aider plus car n'étant pas vraiment habituée à de telle situations parmi les bandits.

Rose la regarda les larmes aux yeux..
Rose: tu dois avoir raison je suis désole de t'embeter ainsi tu a autre chose a faire de plus important que de me consoler..

Elle lâcha Layla et remonta les escaliers séchant ses larmes mais ses démontrer bien qu'elle avait pleurer..
Elle ouvrit cette fois si plus discrètement la chambre 13 remarquant au passage de la lumière dans la chambre à côté mais rentra dans la chambre cherchant Falhen des yeux..

Une fois trouver elle alla jusqu'à lui et sans prononcer un mot se blottie dans ses bras
avec un air tout triste qui la rendait trop craquante même si elle n'était pas d'humeur qu'on lui dise cela..
Rose: Adran a dis que jetait un monstre..je t'avais dit que les gens réagiraient comme sa en sachant qui jetait..

dans l'autre chambre celle juste a côté Calior..celui regarda son lit, il n'était pas vraiment fatiguer et en plus avait envie de prendre un peu l'air..
Il ouvrit donc la fenêtre et sauta juste quand bas comme si il planer jusqu'au sol..
Puis elle commença a marcher tranquillement dans la ville observant les alentour..

Rose regarda Layla avec les larmes aux yeux.
"Tu dois avoir raison, je suis désolée de t'embêter ainsi, tu as autre chose à faire de plus important que de me consoler...
-Je ne sais surtout pas comment faire Rose, je connais mal Adrian, Falhen sera meilleur conseiller que moi", répondit Layla, soucieuse d'avoir vexé à un moment ou à un autre la jeune fille.
Mais Rose l'avait déjà lâchée et avait montés les escaliers pour aller dans la chambre treize. Quand elle ouvrit, Falhen était encore retenu par Éli' et continuait de se débattre sous les moqueries des autres. On comprenait, avec ce bruit, pourquoi tout le monde avait quitté les chambres les plus proches, et Alye avait même été contrainte de fermer la fenêtre, raison pour laquelle la dispute entre Adrian et Rose n'avait pas été entendue. Cette dernière alla directement vers Falhen, se blottissant dans ses bras, faisant cesser les bagarres. Tout le monde regarda Rose, et tout particulièrement Falhen qui remarqua qu'elle avait les yeux rouges, non pas comme lors d'une transformation, mais comme si elle avait pleuré.
"Adrian a dit que j'étais un monstre... Je t'avais dit que les gens réagiraient comme ça en sachant qui j'étais...
-Et le voilà encore qui joue des siennes...", soupira Falhen en prenant Rose dans ses bras, lançant un regard derrière lui.
C'était un regard dur et méfiant, mais à en voir les airs attendris de certains, il n'avait pas besoin d'aller si loin. La plupart des bandits étaient surpris qu'Adrian ai réagit comme ça directement, il avait bien changé ces derniers temps et plus personne n'arrivait à le cerner. En voyant ces mines inquiètes et perplexes sur le visage des autres, Falhen se rassura. Il se décolla un peu de Rose, lui relevant le visage tout en lui souriant.
"Adrian n'est pas tout le monde Rose, ce serait plutôt le contraire parfois. Je te l'ai dis : que tu sois un vampire ou une princesse, le jour où tu deviens bandit, même officieusement, c'est pour toujours."
Il y eut un soupire qui se fit entendre parmi les bandits. Falhen se retourna, le regard noir : Tout le monde paraissait surpris de ce son, la plupart s'étant retourné vers son voisin qui se torturait à prouver que ce n'était pas lui qui avait soufflé pendant que Falhen consolait Rose. Aussitôt, un peu tout le monde s'approcha pour consoler Rose aussi, comme pour prouver que ce n'était pas eux qui avaient soupiré. Éli' tapota sur l'épaule de Rose avec un large sourire.
"Ne fais pas gaffe à ce que dis Adrian, il énerve même Falhen parfois.
-Je n'étais pas énervé !, s'alarma Falhen.
-Mais oui, t'es aussi mon copain !", s'écria Éli' avec un rire en attrapant encore Falhen qui prit une mine désespéré.

Dehors, tout paraissait calme. Comme la fenêtre de la chambre des bandits était fermée, on entendait pas trop les cris et les rires de ceux-ci dans la Grand-rue, et plus loin dans les ruelles, le son se perdait même et on entendait plus que nos propres pas, un bruit angoissant qui en général pressait les paysans en retard qui n'étaient déjà par rassurés par la nuit et ce qu'ils pourraient y croiser. Adrian avait déjà traversé tout ce chemin et se trouvait à présent au niveau du pont qui passait au dessus de la rivière séparant la forêt du village. Il s'arrêta d'abord à cet endroit là, jetant un coup d'œil sur le pont pour voir si il résistait encore puis s'enfonça dans la forêt en direction du lac.

Rose sourie voyant les autres bandits venir pour affirmer ce que disait Falhen..
Elle se sentait mieux tout le monde ne penser pas qu'elle etait un monstre elle etait contente de savoir cela..
Rose n'arriva qu'a sortir un petit merci mais assez fort pour les gens autour d'elle entende..
Elle regarda Falhen et lui donna un léger baiser sur la joue pour le remercier décidément il etait toujours quand il fallait et avait toujours les mot pour la consoler..
Rose: heu..Falhen je peux dormir avec toi? le canapé j'aime pas je me sent seul..

dehors Calior continuer a marcher puis se retrouva bientôt a la fin de la ville jusqu'à un petit pont ou il remarqua une silhouette curieux il avanca jusqu'à celle ci mais resta quand même a une certaine distance..

Calior: que faite vous ici?

Rose sourit, rassurant un peu tout le monde. A croire que malgré tout les bandits pouvaient être sympathiques quand ils voulaient, ils étaient juste un peu étranges pour la plupart. Falhen sursauta quand Rose lui donna un baiser sur la joue : il sentait déjà les regards suspects des autres dans son dos.
"Euh... Falhen, je peux dormir avec toi ?, demanda la princesse. Le canapé j'aime pas, je me sens seule..."
Falhen se tendit, n'osant pas regarder derrière lui tous ces bandits qui le toisaient en attendant des explications, qui d'ailleurs n'eurent pas le temps de venir puisque chacun s'était déjà fait une idée qui visiblement était partagée par tous qui connaissaient assez bien leur ami pour le soupçonner d'un peu tout.
"Falhen, t'as encore fait le coup du plan drague ?, demanda Éli' en croisant les bras.
-Euh... Pas tout à fait..."
Il se retourna avec un sourire innocent mais ne put continuer sa phrase en voyant les regards assassins des autres.
"Falheeeeeen... insista Éli'.
-Attends, je te jure que c'est pas moi qui l'ai charmé ! Juré !", s'affola Falhen en la voyant lui lancer un regard noir.
Il y eut des regards surpris sur cette déclaration.
"Pas... toi ? Mais alors qu'est-ce qu'il s'est passé ?"
Falhen rougit, gêné par cette question, mais il se retourna pour que les autres ne voient pas son petit moment de faiblesse.
"On en reparlera demain, moi j'vais me coucher !, coupa-t-il. Vient Rose avant qu'ils ne recommencent à me questionner", ajouta-t-il précipitamment à l'attention de la jeune fille.

Adrian allait entrer dans la forêt quand une voix le coupa dans son élan. Ce n'était pas une voix qu'il connaissait et visiblement la personne devait tout juste l'avoir rejoint alors qu'il examinait le pont. Adrian se retourna en toisant le nouveau venu.
"Que faites-vous ici ?", avait demandé celui-ci.
C'était un homme aux cheveux et aux yeux de cette même couleur étrange qu'est celle de l'eau de la mer, vêtu de façon très simple pour un voyageur. Adrian plissa les yeux en le voyant, l'air désintéressé : il n'aurait pas grand chose de lui, inutile de l'attaquer pour sa bourse.
"Ce que je dois faire ici, répondit-il avec évidence. Cette forêt est dangereuse pour un voyageur, vous devriez retourner à l'auberge si vous voulez mon avis."
Il n'attendit pas de réponse, se retournant aussitôt pour reprendre sa marche dans la sombre forêt.

Rose sourie en voyant Falhen rougir sachant de qui il parlais bien sur..
Rose: ils le seront bien un jour de toute façon..
Elle sourie au autre et alla rejoindre Falhen toute contente de dormir avec quelqu'un..
Elle se coucha a côté de lui prenant ses bras pour les mettre autour de son ventre se sentant tellement bien dans les bras d'un autre..
Rose: merci Falhen
Puis elle ferma les yeux commençant a s'assoupir..

Calior se contenta de rire le fixant..
Calior: une foret dangereuse? non c'est les "bandits" qui y sont dangereux pas la foret en elle même..
Il s'approcha dangereusement mais calmement un courant d'air entourant les deux jeune gens..
Calior: c'est vous qui étés dangereux..

Rose lui sourit, puis sourit aux autres comme pour les saluer en rejoignant Falhen qui s'était déjà couché. Il trouvait cette journée plutôt mouvementée, avec le départ de Laèl et Faldhur, la rencontre entre Rose et les bandits, la dispute avec Adrian... C'était épuisant, et encore, il trouvait le moyen de se torturer l'esprit avec ça dans sa tête. Il sentit alors une douce chaleur entre ses bras. Il ouvrit un œil, affichant un petit sourire.
"Merci Falhen..., murmura Rose.
-À ton service princesse", souffla-t-il en lui déposant un baiser sur la joue avec un petit rire puéril alors que les autres étaient aussi retournés se coucher.
Il regarda dans toute la pièce : Élindasia s'était étalée sur sa paillasse et celle de Faldhur puisqu'il n'était pas là, avec à côté d'elle leur ami musclé. Sur les deux premiers hamacs étaient couchés les deux bandits belliqueux, et sur le second lit Alye et Ulie. Pourtant, il manquait quelqu'un...

Le voyageur lâcha un rire qu'Adrian ignora en continuant d'avancer. Il n'était pas d'humeur à discuter avec lui et encore moins à voler quelqu'un d'inintéressant et qui ne lui rapporterait pas grand chose.
"Une forêt dangereuse ?, répéta le voyageur. Non, c'est les bandits qui y sont dangereux, pas la forêt en elle-même."
Adrian l'entendit le suivre mais ne répondit pas, sachant qu'il reprendrait la parole bientôt. Il y eut un courant d'air qui l'entoura, un vent étrange...
"C'est vous qui êtes dangereux..."
Le bandit s'arrêta en soupirant, exaspéré, se retournant vers le voyageur.
"De une, on ne dit pas «c'est les bandits» mais «ce sont les bandits» en bon Français. Vous êtes étranger peut-être ? Peu importe. De deux, je confirme que c'est bel et bien la forêt qui est dangereuse. Autant chasser un bandit est très simple, autant les loups affamés et les ours ne se gêneront pas à te déchirer avant que tu réagisses."
Il releva la main avec un air évident : le dos de sa main possédait une large cicatrice.
"La nature est un déchet, elle n'aurait jamais du être autre chose que le serviteur de l'Homme, mais sa rébellion persiste... Elle doit être étouffée. C'est tout."
Sur ce, il se retourna avec un air exaspéré, reprenant sa route.
"Tu ne devrais pas jouer avec les mots comme ça, tu ne connais pas la vraie vie..."

Calior le fixa puis continua de le suivre comme un petit chien..
Calior: la nature ne fait que se venger de vous qui abîmez cette si belle nature..et je vous calmerez tous pour ça..
Il leva une main vers lui et le jeune bandit se fit projeter a un tronc d'arbre..

Calior: et la tu la voie la nature..
Il ria méchamment amusée de cette situation..
Calior: j'avais dit de na pas être méchant mais je peux pas vous laissez détruire la nature et vous regarder sans rien répondre..
Il alla jusqu'à lui mais garda une distance de sécurité..

Calior: quesque tu as a répondre cette fois si?

Les bruits de pas ne cessèrent par derrière Adrian, mais celui-ci n'écoutait plus. Il se demandait surtout comment il faisait pour tomber sur les pires imbéciles qu'il puisse y avoir dans toute la contrée de Vaillance. Il soupira quand le voyageur reprit la parole, toujours aussi agressif :
"La nature ne fait que se venger de vous qui abîmez cette si belle nature...
-Répétition. Êtes-vous sur que vous n'êtes pas étranger ? (il est chiant hein ? --')
-Et je vous calmerez tous pour ça..."
Adrian s'arrêta, plissant les yeux, quand le vent se souleva alors, plus fort que tout à l'heure. Il n'eut pas le temps de le remarquer qu'il fut projeté sur un arbre, en face de lui. Ça, par contre, il eut le temps de le remarquer, plaçant ses bras en crois devant son visage, les paumes de mains dirigées vers le tronc. Lorsqu'il sentit l'écorce percuter ses bras, il s'accrocha au tronc du mieux qu'il pu, stoppant sa respiration en tournant légèrement la tête pour voir le voyageur. Celui-ci rit méchamment.
"Et là, tu la vois la nature ? J'avais dit de ne pas être méchant, mais je peux pas laisser détruire la nature et vous regarder sans rien répondre..."
Il s'avança mais il restait encore trop loin pour qu'Adrian puisse lui asséner un coup en se retournant. Malgré tout, celui-ci affichait toujours la même expression indifférente qu'on lui connaissait si bien lorsque le voyageur ajouta avec le même sourire amusé :
"Qu'est-ce que tu as à répondre cette fois-ci ?"
Adrian lâcha un soupire, lâchant d'une main le tronc pour se retourner et regarder le voyageur d'un air agacé.
"J'ai à répondre qu'il faudrait que tu réfléchisses avant d'envoyer quelqu'un sur un arbre qui est face à lui, c'est bien trop simple de s'y accrocher. Mais je croyais que tu aimais la nature, tu as bien failli abimer un arbre comme ça, il aurait pu être déraciner. Bon, tu as fini de t'amuser ou je dois rester à écouter tes jérémiades ?"
Il se retourna complètement, s'adossant à l'arbre en croisant les bras, attendant la réponse du voyageur d'un air blasé.

Calior se contenta de sourire sans bouger..
Calior: ne dit pas de bêtise..
Il leva la main et fit lever une certain quantité d'eau de la rivière non loin d'eux..
Cette eau se dirigea rapidement vers Adrian..
Et vers la terre une racine sortie de terre pour attraper la cheville du bandit..

Calior: sa faisait longtemps que je n'avais pas utiliser ma magie cela me fait du bien..

Le voyageur ne cilla pas, continuant de sourire au grand agacement d'Adrian qui commençait à s'impatienter et à se demander si le voyageur qu'il venait de rencontrer n'était pas un peu fou sur les bords... ou alors il avait juste besoin de s'occuper, c'était possible. Dans les deux cas, Adrian n'avait pas le temps pour ce genre de plaisanterie et s'ennuyait avant même que la situation ne s'envenime.
"Ne dit pas de bêtises...
-A ton aise, je peux partir ?", rétorqua Adrian.
Mais avant qu'il n'ai pu dire quoi que ce soit, une grosse quantité d'eau lui tomba dessus. Pas au point qu'il en fusse cloué au sol, mais lorsqu'il retrouva l'air libre qui cracha un coup par terre en regardant ses vêtements gorgés d'eau, son pieds coincé par une racine puis le voyageur au sourire persistant.
"Ça faisait longtemps que je n'avais pas utilisé ma magie, cela me fait du bien...
-Un magicien ? J'aurais du m'en douter, tous des démons", soupira avec agacement Adrian en retirant son double-haut.
Il l'attacha autour de sa taille, détacha un instant ses cheveux pour les "essorer" avant de les rattacher avec la même ficelle, puis enleva ses bottes, se libérant par la même occasion de l'emprise de la racine. Il jeta les bottes un peu plus loin puis releva ses yeux ambrés vers le voyageur.
"J'en retrouverais d'autres plus tard, soupira-t-il pour lui-même. De toute manière je commençait à avoir chaud avec les rembourrages... Tu veux te battre ? Alors fait-le comme un homme, prouve que la nature n'a pas fait de toi un faible qui profite de l'handicape des autres", lança-t-il à l'attention son adversaire en faisant craquer ses doigts.
Il eut un sourire narquois : il avait trouvé un adversaire à sa taille visiblement, il devait en profiter...

Calior fixa un moment le jeune bandit réfléchissant un instant a sa remarque..
Puis il fini par répondre.
Calior: d'accord sans la magie mais je suis aussi bon sans que avec je te prévient!

Il alla recula un peu et esita a prendre quelque chose dans une poche de son pantalon.
Calior: est-ce qu'on a le droit au arme ou tout a la main?

Il écouta le chant de la foret se préparant mentalement a combatre cela faisait un petit moment qu'il n'avais pas combattu est-ce que c'etait sa qui l'avais amener a venir ici pour se retrouver face a cette homme qui semblait bien fort?!

Le voyageur réfléchit un moment à la remarque d'Adrian qui le toisa un long moment, paraissant perplexe et très méfiant. Finalement, il reprit la parole après avoir murement pensé à la remarque du bandit :
"D'accord, sans la magie, mais je suis aussi bon sans qu'avec, je te préviens !
-J'aurais été bien déçu du contraire, les magiciens m'auraient parut encore pire qu'avant...", soupira Adrian.
Le voyageur recula légèrement, semblant hésiter à nouveau. Adrian grogna, croisant les bras d'un air impatient, jusqu'à ce que la question lui vienne enfin.
"Est-ce qu'on a le droit aux armes ou tout à la main ?"
Adrian écarquilla les yeux. Aux armes ? C'était surprenant de la part d'un voyageur d'avoir ainsi de la magie, mais bien plus encore des armes en plus. En un sens, et homme remontait un peu dans l'estime d'Adrian, mais celui-ci ne pouvait se permettre d'accepter d'être "ami" avec un magicien.
"Si cela te chante, lâcha-t-il. Je ne vois pas l'utilité de frapper avec une arme, mais si tu veux te battre ainsi... De toute manière ce ne sera pas déséquilibré."
Il afficha un sourire fermé, attendant la réaction du voyageur. Il avait bien besoin de se battre pour le moment, et cela lui était égal d'en ressortir blessé. Il n'avait pas sentit l'ombre derrière lui, trop concentré sur le combat qui tardait. Cette ombre se glissa un peu entre les arbres avec discrétion, surveillant les deux combattants avant de s'enfuir... S'enfuir ? Peut-être pas, elle reviendrait sans doute...

Calior: mais toi tu en a pas d''arme a ce que je peux voir sa ne serait pas un combat équitable alore je vais me servir juste de mes mains et mes jambes pour me battre comme a l'ancienne..

Il sourie content de se battre..
Calior: alore bon combat..
Il salua son partenaire comme signe de politesse puis fonça vers lui pour commençait le combat..

Le voyageur rétorqua très rapidement :
"Mais toi tu n'a pas d'arme à ce que je peux voir, ce ne serait pas un combat équitable alors je vais me servir juste de mes mains et mes jambes pour me battre comme à l'ancienne...
-Comme à l'ancienne ? Hum..."
Adrian fronça les sourcils alors qu'au contraire le voyageur affichait un sourire en s'apprêtant à lancer le combat. Il lui souhaita "bon combat", quelque chose qui exaspéra Adrian puisqu'il n'en voyait pas l'utilité, le salua comme il le ferait à un partenaire en signe de politesse - signe auquel répondit Adrian d'un geste supérieur de la main - puis sans attendre lui fonça dessus. Une attaque de front. C'était très efficace en général chez les grosses brutes ou les hommes rapides quand ils étaient armés, mais l'inconnu n'était ni l'un, ni l'autre.
"Ne sous-estime pas les combattants à mains nues...", souffla Adrian.
Il s'effaça sur le côté un peu avant le dernier moment, de toute manière pratiquement sur que le voyageur ne serait pas dans une position avantageuse pour l'attaque, et quand il passa, le bandit attrapa son bras, passa derrière son adversaire et lui fit une clé, maintenant son autre bras derrière aussi au cas où.
"C'est bien ce que je pensais, un magicien ne peut être doué à mains nues."

Calior fit la grimasse cela faisait bien mal a ses bras..
Calior: toi aussi ne me sous estime pas, tu pourrais être surpris!

Il réfléchit un petit moment il devais vite trouver la solution, pour le surprendre, une idée vite n'importe quoi..oui!
Il leva son pied puis le baissa d'un coup écrasant celui du pauvre bandit qui devais vraiment souffrir..

Puis Calior profita de se moment pour tourner la tête faisant par réflexe tourner celle de celui ci et profitant de voir son visage aussi proche l'embrassa tendrement pour ensuite se libérer garce a cette énorme effet de surprise et avec sa jambes fit tomber le pauvre a terre qui devais souffrir a son pied et être dégouté de se faire embrasser par un gars..est-ce que cela voulais dire que Calior aimait les hommes?!

L'inconnu fit une grimace, assez surpris de cette attaque mais surement plus encore souffrant d'être dans une telle position assez inconfortable. Il maintint malgré tout son air de combattant, décidé à ne pas perdre si facilement :
"Toi aussi ne me sous-estime pas, tu pourrais être surpris !
-Je n'attend que ça..."
En disant cela, Adrian ne s'était pas vraiment douté que le voyageur aurait une idée aussi lumineuse que de lever le pied pour écraser celui de son adversaire. Il retint un cri de douleur, jurant contre les mauvaises idées de ces imbéciles de voyageurs. Il ne se sentit pas légèrement desserrer son emprise sur l'homme qui se retourna profitant de l'effet de la douleur pour... l'embrasser. (Adrian : QUOI ?! - Cricri : Calme-toi Adrian, calme-toi... ^^') Adrian écarquilla les yeux, lâchant tout d'un seul coup, tombant malencontreusement sur les fesses lorsque son adversaire lui fit un croche-patte déloyal. Il regarda le voyageur avec un air très surpris. Sur ce coup là, il ne savait plus du tout quoi dire. Pourtant, bien des injures lui venait, et des remarques telles que «C'est ta définition du mot "combattre"» ou «J'imagine que tu vas me dire que c'est naturel» et bien d'autres reproches qu'il vaudrait mieux ne pas marquer. Mais sur le coup il ne trouva rien à redire, trop abasourdit pour faire la moindre remarque désobligeante. Il lui fallut pourtant bien, au bout d'un moment, sortir de ses rêveries, mais ce ne fut pas du au voyageur mais à d'autres arrivants.
Il roula sur le côté soudainement, attrapant à pleine main la lame d'un couteau qui le visait. Il fronça les sourcils, faisant tourner l'objet entre ses doigts : il n'y avait aucun doute sur l'envoyeur. Un bandit corbeau. Adrian se releva, vérifiant si la lame était plus aiguisée qu'à l'accoutumer : ce n'était pas le cas. L'intérieur de sa main n'était pas entaillée. Ayant été fils de paysan, il avait bien travaillé des fois avec son père, et même si il était incapable de transporter la moindre chose, il avait acquis quelques qualités, et notamment cette sorte de corne qu'il avait sur les mains. Il ne pouvait plus rien ressentir au touché avec, mais dans de telles conditions il arrachait même les orties à mains nues sans avoir la moindre blessure ou le moindre problème. Quand il releva la tête, il ne fut pas surpris de leur entourage : des bandits corbeaux, un groupe assez grand. Contrairement à son Clan, les bandits corbeaux avaient bien plus de membres qu'il n'en fallait, tous attirés par la richesse et la puissance. Un vrai village en un seul Clan, et un sacré nombre d'adversaires par la même occasion.

Calior resta calme même quand une arme alla dans sa direction mais même sans bouger il y eu comme une barrière de protection d'air et l'arme tomba sans même toucher le jeune homme..

Calior: tient je présume que se ne sont pas tes amis..je pense qu'on va devoir arrêter notre combat..
Il alla avança mais avec une distance raisonnable vers d'ennemis..
Il fixa tout les bandits il semblaient venir du même clan que celui qu'il avait pu voir auparavant..

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