Mauvais départ. (pv docteur)

Rose, voila le nom de cette jeune fille de 20 ans qui avait décidée de prendre enfin sa vie en main.
Elle vivait chez une gentille famille mais cette famille n'était pas vraiment la sienne.
Et oui Rose avait été trouvée étant bébé devant leur porte avec juste un petit morceau de tissu mais pas n'importe qu'elle tissu un tissu broder de son nom comme si ce bébé était un enfant royal mais cette famille n'avait jamais été au château ne voulant pas qu'on les traite de menteur pour recevoir une recommence.

Rose en avait souvent parler avec ces faux parents, elle voudrait tellement savoir qui elle était et qui été ses parents surtout.
Peux être qu'elle avait été kidnapper à sa naissance, ou elle était née d'un amour impossible, cette idée la rendait toute rêveuse, un amour interdit que c'était beau dit comme sa.

Et donc un matin, elle prépara quelques affaires dans un sac en vieux tissu fait par son père adoptif puis leur souhaita une bonne vie avant de partir à l'aventure sans savoir ce qui pourrais de passer dans ces terrains inconnu.

Elle était grande cette belle rose avec des cheveux brun frisés et des yeux intense de couleur vert émeraude d'une splendeur inégal.
C'était très impressionnant qu'une fille de ferme pouvait être aussi belle surtout en travaillant la terre mais Rose ne c'était pas laisser abattre et avait tout fait pour essayer de prendre soin d'elle, dans le village tout le monde l'avait trouver bien bizarre de prendre autant de bain mais cela elle n'aurait pu le convier de ne pas en prendre même si c'était dans un tonneau.

Elle pris le chemin de la grande ville puis y entra curieuse tout sembler si différent de son village et cela ce voyais qu'elle venait d'un endroit pauvre sa robe paysanne était déchirée et ses chaussures devait faire plus mal au pied qu'autre chose.

Elle s'approcha d'un marchant de pain mais ces prix était monstrueusement cher elle qui n'avait que quelques pièce dans son petit morceau de tissu dans sa poche.
Rose n'allait quand même pas voler cela serai pas bien mais elle avait faim que faire dans cette situation?

C'était un matin comme les autre les rayon de soleil brûle la joue d'un homme qui aurai demander plus de sommeil mais le repos lui est interdit la barbe lui gratte combien de temps ne sait t'il pas raser ? Les jour il ne l'est conte plus.

En se levant il manque de faire tomber une bouteille de whisky la bouteille est a moitié vider de son contenu, la nuit fut dur, soudain des picotement revienne sa main tremble une gorgée de whisky, seul l'alcool lui calme ses douleur, les tremblement on cesser.
il marche vers la fenêtre en titubant pour ouvrir les volet en les ouvrant le soleil l'aveugle il n'aime pas sa il préfère l'obscurité. La lumière du jour montre sont appartement spacieux et grand on pourrai loger une famille l'appartement est mal entretenu comme si la présence d'autre personne avait vécu ici dans la pièce a coté un bureaux avec un tableau plein d'extrait de journaux et a coté accrocher au mur ce qui ressemble a un diplôme de grande écoles.

il avance vers sa penderie pour s'habiller il enfile un vieux t shirt un pantalon délaver et une veste longue un peux vieilli et des mitaine pour ne pas qu'on voit ces cicatrice aux main juste a la sortie de son appartement il y croisent un portrait déchirer et dégrader on peut y distinguer des silhouette d'une jeune femme d'un enfant et d'un homme. Il regarde ce portrait verse une larme et s'en va dans la rue. La rue est mal famer et insalubre elle n'est plus ce petit quartier tranquille qu'il a connu. Il arrive vers ce marchand arnaqueur pour lui acheter un petie pain car il est le seul d'ouvert dans le quartier. Il y prend le dernier petit pain restant donne 2 piece et croise le regard de cette jeune fille qui semblait s’intéresse a ce petie pain elle n'est surement pas d'ici il lui tend un morceau et lui dit "tien et a ta place je partirai".

Rose qui vit le jeune homme arrivait ne bougea pas le voyant lui tendre un morceau de pain.
Elle tendit la main un peu rougissante voyant cette personne qui semblait si dur mais aussi si fort et imposer le respect.

Puis elle l'entendit lui parler lui demandant de partir, mais ne compris pas pourquoi il lui dit cela, elle n'était la que pour quelques heurs, et elle allait repartir de toute façon mais ne savait pas pourquoi elle devrait partir ainsi aussi vite qu'elle était venu de la part d'un inconnu.

Rose: pourquoi? je ne suis pas venu embêter, je suis juste de passage...
Elle rougie de honte et se contenta de le fixer un long moment les yeux ans les yeux avant de partir pour ne pas embêter plus cette homme qui ne semblait pas vouloir la voir longtemps dans "son" village.

Ce regard qu'avait cette jeune fille il la connu un regard innocent ne connaissant pas encore ce que la vie allait donner.

Elle ne semblait pas bouger en le voyant l'homme lui dit "écoute ne pose pas de question il y a dans cette ville des chose qu'il ne faut pas qu'une étrangère doit connaitre alors prend ce bout de pain et prend le dernier transport avant que la nuit tombe la ville n'est pas le paradis que l'on ta raconter"

l'homme vit que l'ombre de la nuit prenait plus d'ampleur "merde" ce dit t il il n'aurait pas du boire autant mais l'alcool il y a que sa qu'il calme la douleur c'etai sur il n'y avait plus de transport et plus aucune boutique d'ouverte il s'adresse a rose et lui dit "tu vois l'immeuble las bas prend cette clé monte au dernier étage et reste y pour la nuit et ne discute pas"

Rose regarda l'inconnu il semblait presser ou stressé, elle ne savais pas très bien en fin de compte, elle se contenta de le regarder alors qu'elle avait le pain dans les mains de ses douces mains délicatent puis penser partir sans rien dire mais quand elle pensa tout simplement partir sans vouloir déranger, l'inconnu lui tendit une clef et lui indica un immeuble pour passer la nuit et se cacher en quelque chose, mais de quoi après tout?

Rose: heu..d'accord mais je ne comprend pas ce qu'il y a de dangereux dans cette ville la nuit, des bandits?

Elle attendit la sans bouger maigres la clef dans sa main et de pain de l'autre, mais cette personne n'avait pas l'air de vouloir discuter et le marchant était déjà partie depuis longtemps, d'ailleurs tout était très calme dehors, tout le monde semblaient rentrée chez eux pour passer une nuit au chaud entre famille peu être.
Et elle, elle était partie pour vivre sans savoir ce qu'elle allait faire de ces journées c'était peu être pas une bonne idée, mais chez elle c'était si calme si ennuyeux, elle ne pouvait pas se résoudre à vivre ainsi.